Une question, une information
02 99 25 65 00
Une première attestation de déplacement a été fournie remplie de manière manuscrite par les cadres. Une seconde a été pré remplie avec les données nominatives lorsque le gouvernement a modifié le modèle le 23 mars. Elles ont été distribuées par les responsables de services.
Le site Ameli a été tout d’abord ouvert à l’ensemble de la population, puis, à partir du 26 mars, réservé exclusivement aux non soignants. Le personnel soignant doit obligatoirement s’adresser à son médecin traitant pour obtenir un arrêt.
La note de soutien psychologique a été diffusée dans les services. Vous pouvez la télécharger ici.
Une « barrière » pour que la distanciation soit respectée a été installée. Les agents de communication portent, comme les soignants, des masques chirurgicaux et ont à disposition du SHA.
Les professionnels, utilisant habituellement les transports en commun pour venir travailler, doivent informer le service RH en cas de modification d’horaires rendant complexes ou impossibles les déplacements. Une solution leur sera proposée (co-voiturage, taxi, …)
Les salariés qui souhaitent bénéficier d’un hébergement (notamment pour protéger des proches avec fragilité) doivent contacter le service RH. Un logement pourra leur être proposé (hôtel, airbnb, …).
La demande de bons essence a été effectuée auprès de Total. Le siège a ensuite regroupé les demandes de tous les établissements HSTV. Nous attendons l’attribution des bons.
Tous les congés payés, congés sans solde et congés sabbatiques validés aux plannings sont maintenus et ne peuvent être annulés.
Les rencontres avec les membres du CSE se poursuivent. Une réunion hebdomadaire est programmée.
Jusqu’au 23 mars, carence applicable :
A compter du 24 mars et pendant toute la durée de l’urgence sanitaire, le délai de carence est nul.
(cf. loi d’urgence pour faire face à l’épidémie de COVID-19, promulguée le 23 mars 2020)
Les salariés qui ont contracté Covid 19 sont classés en maladie professionnelle.
Plusieurs règles sont déjà applicables dans les établissements de santé relevant de la CCN 51 (12 heures au lieu de 10, de jour comme de nuit – repos quotidien de 9 heures au lieu de 11 avec contrepartie en repos).
La modification importante, dans le cadre de cette loi d’urgence sanitaire, est la possibilité de travailler 60 heures par semaine (de jour) contre 48 actuellement.